Défi n°63 : Un tour de pédalo sur le lac Titicaca !
Vous l’aurez compris, nous n’avons pas pu réaliser notre J+67 malheureusement… L’état de Loick ne s’étant pas arrangé hier, il est resté cloué au lit toute la journée, à raison d’une dizaine de médicaments par jour ! (En voilà une pharmacie qui a servi) Malgré tout ça, toujours pas d’améliorations en vue et comme si cela ne suffisait pas, je l’ai attrapé à mon tour. En beaucoup moins coriace, sans fièvre et sans vomissement, mais le cœur n’était tout de même pas à la découverte. Je me suis un peu baladée toute seule le matin mais je suis vite rentrée me remettre sous les couettes. Une journée très productive donc, cloitrés dans notre chambre d’hôtel qu’on va peut être vous présenter en images tout de même !
Le lendemain de ce fâcheux épisode, nous avons commencé à récupérer doucement. Toujours des hauts et des bas, mais ça nous a permis de sortir un petit peu. Comme vous l’aurez compris, nous avons du annuler notre départ pour l’Isla del Sol qui était l’une des seules raisons pour lesquelles nous nous sommes rendus à Copacabana. C’est bien dommage de ne pas avoir pu visiter et dormir sur cette île, mais nous l’aurons tout de même vu tous les jours ce fameux lac Titicaca. Et d’ailleurs, comme cela fait deux jours que depuis la fenêtre d’hôtel on observe les bateaux et les pédalos, on s’est dit que, quittes à ne pas prendre le bateau, on pouvait tout de même tester les pédalos. Ainsi, dans un moment où la santé n’allait pas trop mal, on s’est décidés à réserver 30min de pédalo pour observer le coucher de soleil depuis le lac.
C’était assez marrant de pédaler, de slalomer entre les bateaux à une vitesse de pointe fulgurante, approchant les 5 km/h. On a pu distinguer la fameuse Isla del Sol, et on a surtout pu voir les couleurs du ciel viraient au rose, avec tous ces bateaux amarrés, c’était vraiment joli. On est rentrés par une nuit qui commençait à tomber et les lumières de la ville qui commençaient à s’allumer. C’était court mais sympathique à faire.
Après ce bref moment d’évasion, retour dans notre fameuse chambre 304, à carburer au Tiorphanor.
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